Nathan
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Impression du jour

Voilà maintenant 3 jours que j’ai posé ce fameux accessoire singulier qui rend mon zizi pisseux.
3 jours et 3 nuits de pipi continu. J’ai enfin réussi à concrétiser mon rêve. Je ressens une drôle d’impression. Celui de n’être qu’un gamin qui ne sait pas se retenir. Un mélange de honte et d’impuissance lorsque je sens le flot de pipi envahir la couche et qui me rappelle inexorablement à ma condition. Je dois désormais faire avec sans tenter à tout prix de cacher la couche, je m’habille normalement pour sortir, mais il est vrai que bien souvent c’est peu discret. Que se soit dans un supermarché ou dans la rue, j’entends des rires à peine dissimulés de filles qui devinent facilement la couche sous le pantalon. Je me sens alors diminué et réduit à l’état de sale petit mouilleur de couche. Une sexualité bien sur inexistante et une odeur permanente de couche trempée sont aussi là pour participer au conditionnement. Quelle fille s’intéresserait à un homme qui à un zizi de pisseux? Pour parfaire ce conditionnement je travaille à rendre mes bouts de seins sensibles à souhaits. Avec ma nounou je pense que les prochaines sorties devraient être orientées plages. Elle pense qu’il est grand temps pour moi d’assumer cet état de pisseux qui est devenu au fil du temps une réalité quotidienne. Aussi elle souhaite que nous allions à la plage et que je fasse bronzette avec juste ma couche et la culotte plastique bien entendu.

La Solution Finale

En parallèle de mes sorties avec Ma nounou j’étais toujours en quête de cette fameuse solution finale. Une solution qui fasse que mon zizi soit en tout point identique à celui d’un pisseux. Je peux désormais vous annoncer que je viens de réussir à trouver le jouet ultime pour mener à bien ce doux rêve. Mais bon, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain…
5 mois de recherche, de tests et le plus souvent de déception avec l’idée qu’il n’y avait peut être pas de solution. 5 mois aussi de douleur car vous pensez bien que certaines expérimentations se terminaient avec d’affreuses douleurs accompagné bien sur d’une mini déprime. La quête du Graal mérite des sacrifices et bien que ces échecs me causaient de gros coups de blues, ils m’aidaient à éliminer les pistes foireuses et les idées débiles (car j’en ai eu des tonnes). Le principe n’a pas changé au fond. Il s’agit toujours d’un tuyau que j’introduis dans mon zizi. Ce qui change c’est tout d’abord que ce tuyau est absolument invisible lorsque je suis nu. Même à y regarder de près, rien, pas l’ombre d’un tuyau.
En fait, il est à l’intérieur du zizi et s’arrête environ à 4 cm du bout du de l’urètre.
A l’autre bout, il termine dans la vessie avec un petit ballonnet gonflé ce qui lui assure un maintien parfait et l’empêche de sortir. Vous allez alors vous demander comment ai-je réussi à mettre ce tuyau et gonfler le ballonnet. C’est là que se situe toute l’astuce de ce jouet : le mode opératoire !!
Voici ci dessous comment j’ai procédé….

Refléxion du Jour

Vous devez maintenant le savoir, Nathy m’a pris sous son aile depuis Septembre dernier. Il a fallu apprendre à s’apprivoiser car je suis ce que l’on peut qualifier un « pisseux rebelle ». Un modèle difficile à cerner et comprendre. Je savais toutefois que Nathy était apte à relever ce défi. Nathy n’est pas simple à comprendre non plus. Une femme exceptionnelle, pleine d’humanité et souvent torturée. Des démons que j’ai aussi malheureusement côtoyé au gré de mes pérégrinations. La vie est pour certains un long fleuve tranquille, pas pour nous. Nos points communs : franchise et honnêteté et un coté candide. Ce mélange lui a joué un sale tour avec un de ses meilleurs amis (ce qu’elle pensait), à qui elle a eu la faiblesse de lui avouer qu’elle renaissait au travers d’une nouvelle expérience : dresser un pisseux. Comme quoi toute vérité n’est pas bonne à dire même à vos meilleurs amis. Bref, j’ai vécu aussi cette candeur et quête de vérité, notamment auprès de ma famille. Foudre de ma propre mère qui n’a jamais voulu accepter que cette « déviance » alors que je n’avais que 5 ans, était d’ordre affectif. Une carence affective qui m’a fait bégayer jusqu’à 12 ou 13 ans. Le chemin a été ponctué d’épines et ce n’est que maintenant que je commence à vivre pleinement la vie que j’ai toujours souhaité vivre. Peu importe le chemin pourvu que l’on atteigne le bonheur, peut importe le vin pourvu qu’on ait l’ivresse, c’est enfin ce que je viens de comprendre.
Nathy pour sa part a aussi suivi ce chemin. Un chemin où pendant de nombreuses années elle a été celle que l’on souhaitait qu’elle soit. Une bonne mère de famille, impliquée dans le social, attentionnée aux désespoirs de des amis. Certainement par gentillesse, par amour de ses prochains. Impliquées et très sensibles aux sujets concernant les inégalités sociales. Une femme à fleur de peau (comme moi). Elle aurait certainement été une Soeur Theresa en or, cependant en s’impliquant trop pour les autres, ont fini par s’oublier soi-même.
Oublier que l’on est aussi un être humain fait d’envie et de désirs. De pulsions et de besoin de Vivre tout simplement. D’envie en fait. L’envie, cette donnée essentielle qui nous fait avancer et progresser. Qui nous fait rire ou pleurer. Qui nous anime tout simplement.
J’ai compris sur le tard cette évidence et depuis je peux vous assurer que « ce qu’il me reste à vivre » sera consacré à ce qui m’anime réellement. Peu importe mes « faux amis » je suis mon chemin, mes envies.
Je rie, je pleure : merci ! Merci Nathy de comprendre qui je suis sans me juger.
Et si je peux lui apporter une renaissance en dehors des carcans traditionalistes qui penseront toujours que « un homme plus une femme = amant » , je serais le plus heureux des pisseux.
Nathy et moi sommes semblables sur tellement de point….Une âme soeur?
Dieu seul le sait…

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