Nathan
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Jérôme – Chapitre 3

Chapitre 3 – Le début du calvaire

Elle ouvrit une petite valise dans laquelle je découvris alors toute une sorte d’objets inconnus. Je dû me rendre dans la salle de bains, et une fois nu comme un vers, elle commença ses investigations intimes. Elle m’enfonça un tuyau en caoutchouc dans ma verge et y gonfla une seringue. Je compris par la suite que cet instrument s’appelait une sonde de foley. Une fois en place je ne pouvais plus contrôler ma vessie et je n’arrêtais pas de faire pipi. Puis elle m’enfonça un tuyau plus gros dans le rectum pour me prodiguer un lavement. Elle gonfla ensuite le ballon de la sonde rectale. J’eu tellement mal que je me mis a lui supplier d’arrêter. Mais elle continua et je finis par hurler de douleur. Elle me consola en me disant que ça fait toujours un peu mal au début. Puis elle gonfla le second ballon. Elle mit en place le tuyau sur le système de douche et fit circuler l’eau pendant dix minutes environs. L’eau chaude me décontracta quelque peu et je me vidai alors complètement. Je du garder cet appareil de torture pendant une heure, et lorsqu’elle me l’ôta je ne sentais plus mes fesses. Je restais le cul ouvert et béant et comme pour s’assurer de sa victoire la femme me montra alors un énorme gode qu’elle m’enfonça dans le derrière puis elle me dit d’une voix triomphante :

« Voilà, comme ça bébé va pouvoir faire dans ses couches sans pouvoir se retenir.
C’est humiliant de ne même pas sentir cet énorme god quand je te l’introduis. Il te faudra
48h minimum pour que tu puisses à nouveau retenir ton caca. Pour l’instant je t’ai dilaté suffisamment, mais ce n’est qu’un début. Pour ton zizi tu ne dois pas toucher à ce tuyau. Gare à toi si tu tentes de l’enlever. Yves m’a demandé de faire en sorte que tes couches te soient désormais utiles. Je lui ai assuré que tu en seras dépendant au bout de deux mois. Ton fantasme deviendra réalité quotidienne ! »

Pour finir, elle me langea et enfin puis m’administra un somnifère. Je m’endormais alors dans un sommeil profond, meurtri par les soins pervers de cette blondasse. Le réveil me sortit d’un coma profond. Avais-je rêvé ? Mes draps étaient souillés ! Il y avait un tuyau de caoutchouc qui sortait de mon zizi ! Non, je n’avais pas rêvé ! J’avais même fait caca dans mes couches ! Je me levai alors et pris une douche pour nettoyer mes pollutions nocturnes. Une fois propre, je commençai alors à regarder ce tuyau qui sortait de mon zizi. Comment enlever cette saloperie pour pouvoir aller au travail ? Je compris bien vite comment l’ôter. Il m’a suffi d’enlever le bouchon jaune et là je sentis le ballonnet de la sonde se dégonfler. Je pu rapidement sortir cette sonde de mon intimité. Non mais ! Quelques instants plus tard je m’habillais normalement mais je découvris que tous mes slips d’homme avaient disparus et remplacés par une dizaine de culottes en pvc et mes couches soigneusement pliées. Je mis une culotte pvc un pantalon et pris un café avant d’aller travailler. Une fois assis, je sentis un truc chaud entre les fesses. J’avais fait caca dans ma culotte ! Une chose était sure, la blonde avait au moins réussi une chose ! Je dû me résigner à porter une couche pour la journée. Heureusement personne ne remarqua ma couche et lorsque je rentrai enfin chez moi je constatai que ma couche était souillée de caca. Une fois lavé et à nouveau changé je remarquai aussi que mon anus se refermait mieux que ce matin ! Ouf, son traitement n’était pas irrémédiable ! On sonna à la porte ! J’étais sûr que c’était la blonde qui revenait pour vérifier mon état. Je fis comme si je n’étais pas là. J’avais pris la précaution de fermer ma porte à clé. Puis j’entendis un bruit de clé et ma porte s’ouvrit. La blonde s’avança vers moi et je reçu une gifle magistrale. Elle me lança alors d’une voix tyrannique :

« Pour qui tu te prends petit merdeux ? C’est moi qui décide ici, tu as compris ? Avant de partir hier j’ai pris un double de tes clés ! Comme ça je peux aller et venir chez toi et transformer ton petit coin douillet à mon goût ! Montre-moi tes couches ! Allez, plus vite que ça ! »

Puis elle me baissa ma culotte pvc, tata la couche puis la fit tomber à terre. Je reçu une autre gifle magistrale et une dizaine de claques sur les fesses.

« Le petit salaud ! Non seulement tu t’es changé, ce que je t’avais interdit de le faire, mais en plus tu as enlevé ton tuyau caoutchouc ! Je m’en doutais de toutes manières. Tu sais qu’Yves m’a déjà confié des gamins comme toi ? Ils ont tous réagit comme tu viens de le faire ! Et comme j’avais prévu que tu essaies de te soustraire à mon autorité, je t’ai ramené une petite surprise. Tu vas adorer ! »

Elle sortit d’un sac en plastique une sorte de slip rose et jaune paille. Puis d’un sourire pervers me le tendit pour que je puisse le regarder de près. Des motifs enfantins décoraient ce qui allait devenir par la suite mon principal compagnon d’infortune. Il ressemblait à un slip classique si ce n’est qu’il avait plusieurs particularités singulières. Tout d’abord la matière : c’était à première vue une sorte de culotte en résine épaisse et semi rigide Elle était munie d’une chaîne à la taille et aux cuisses avec trois petits cadenas bizarres. Aux cuisses, des bandes de caoutchouc bleue froncées. Je remarquai aussi une petite fente à l’intérieur et une sorte de coquille rigide sur le devant. A l’entrejambe je vis une grosse sur-épaisseur de tissus. Au niveau de l’anus il y avait une ouverture, certainement pour mes gros besoins. Pour terminer la décoration il y avait un motif Disney Baby sur le devant et deux autres sur les fesses. Puis une inscription sur le derrière : « Culotte d’apprentissage. » . Je découvris par la suite que ce genre de culotte existait sous différentes formes. L’illustration montre un autre modèle sans les cadenas à l’entrejambe mais tout aussi humiliant.

« Elle est à toi ! C’est un cadeau de Yves ! Elle est belle n’est-ce pas ? C’est une culotte pour des gamins comme toi ! Ce genre de modèle a déjà servi à dresser deux autres pisseux de ton espèce, tu es le troisième ! Yves l’a fait fabriquer pour qu’elle s’ajuste parfaitement à ta morphologie. Tu te souviens que dans vos échanges? Il t’avait alors demandé avec précisions tes mensurations. Et bien c’était justement pour la fabrication de cette merveilleuse culotte d’apprentissage. Elle est belle n’est ce pas ? Qu’est-ce qu’on dit ? »

J’étais abasourdi, je n’allais pas porter ce genre de truc, pas moi ! Puis elle me gifla encore une fois :

« On dit Merci Yves ! Allez vient avec moi je vais te préparer ! »

Je la suivis dans la salle de bain et là le rituel recommença. A la différence près qu’elle ne toucha pas à mon anus. Telle une infirmière méticuleuse et soignée, elle prépara la stérilisation de la sonde. Une fois en place, elle me fit mettre debout et me mit la culotte d’apprentissage. Elle m’introduisit le sexe lubrifié dans la petite fente avec le tuyau. Elle du ensuite ajuster la culotte pour que je sois bien protégé selon ses propres termes. Elle serra ensuite les petites chaînes aux jambes puis ferma les cadenas. Elle voulait s’assurer que je ne tente pas de mettre mes mains dans ma culotte. J’eu un peu mal à vrai dire car les chaînes me serraient les cuisses. Puis pour terminer elle me serra la taille et ferma le dernier petit cadenas dans mon dos. J’étais prisonnier ! Prisonnier de cette culotte maudite. J’eu un début d’érection, mais aussitôt je lâchai un cri de douleur.

« Ca fait mal quand on essaie de faire durcir son petit zizi, hein, petit pisseux ! »

Me dit-elle d’un air amusé. Je me rendis compte aussi que je ne pouvais pas bander du fait que la coquille dans lequel mon sexe était prisonnier ne le permettait pas. Elle reprit ensuite :

« Je t’explique le fonctionnement de cette merveilleuse culotte. Tu dois sentir qu’à ton entrejambe tu as une épaisseur ? Elle a été mise là pour que tu te sentes toujours mouillé ! A la longue les odeurs de pipi vont s’incruster dans cette culotte que je t’enlèverais une fois par semaine pour nettoyer ton zizi et tes fesses. Si l’envie de prend de chercher à ouvrir les cadenas, je m’arrangerai pour te dilater l’anus à un point de non-retour ! Cette culotte a été conçue pour être impossible à enlever. Elle est composée de plusieurs épaisseurs de coton ainsi qu’une autre en Kevlar qui la rend impossible à découper avec des cutters ou bien des ciseaux. Le tout s’ajuste avec de petites chaines en acier haute résistance à la taille et aux cuisses et fermé par 3 petits cadenas de haute qualité eux aussi. Ce ne sont pas des cadenas du commerce comme tu peux le voir. L’extérieur de cette culotte est enduite d’une résine spéciale en polyester comme tu as pu le remarquer. Pour la déco, c’est motifs Disney babies. J’adore le look ! Mais elle n’est pas étanche, il y a de micros perforation couvrant toute la culotte. Ainsi lorsque tu mouilleras ta culotte, tu sentiras déjà le pipi dans la culotte avant que ce dernier finisse par inonder la couche. C’est extrêmement humiliant, tu verras à l’usage. La cerise sur le gateau c’est qu’au niveau de ton zizi, il y a une petite coque rigide qui prévient toute forme d’erection. Impossible donc de bander dans cette culotte. Ce que je t’ai fait hier n’est qu’un simple petit aperçu ! Cette culotte vient tout droit des USA. Réalisée avec soin par un artisan du nom de Pee Master. Une référence en la matière. Tu auras beau de laver tous les jours, cette culotte finira par porter ton odeur de pipi qui te suivras où que tu ailles. Maintenant tu choisis : tu m’obéis ou je sévis. Yves me donne six mois pour réussir à te rendre complètement dépendant de tes couches et quand ce sera fait tu seras libre à nouveau. Six mois ce n’est pas la fin du monde tu sais ! Peut-être que trois mois seront suffisant ! Si tu coopères pleinement, ça ira très vite ! Vu que c’est ton fantasme, nous allons le concrétiser. »

Je n’avais guère le choix. Ma culotte se remplissait et je sentais déjà l’humidité entre mes cuisses. Deux ou trois gouttes commencèrent à couler sur le sol et la blonde me dit alors :

« Oh la la, tu as déjà des fuites, il faut te garnir comme il le faut. Apporte-moi une couche sinon tu vas inonder la salle de bain petit pisseux. »

Je suis parti chercher une couche et une culotte plastique puis elle me langea. Une fois la culotte plastique en place, elle alla chercher dans son sac plusieurs médicaments. Puis comme pour mieux m’humilier elle me dit alors :

« Ce petit bonbon rose a pour fonction de te faire en sorte que ton zizi ne grossisse pas. En clair c’était un médicament que l’on administre généralement aux obsédés sexuels atteints de paraphilie. Ce petit bonbon blanc lui t’empêchera d’avoir des idées noires. C’est un antidépresseur, et crois-moi tu en auras besoin. Ce petit bonbon vert et blanc c’est un anti-infectieux. Ça évitera les infections urinaires. »

Je pris les médicaments sans rechigner puis elle quitta mon appartement en me donnant rendez-vous le lendemain, même heure.

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