Nathan
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Gros Bug Fournisseur

Petit message pour vous dire que le site est sur un serveur de secours. Mon hébergeur ayant planté un de ses serveurs et ne sait pas encore quand il sera de nouveau opérationnel. …..un Gros Bazar ! Le Bug a commencé Mercredi matin. Pas de bol, ce jour là je me décide à ajouter une page sur les images générées par l’IA. Je vois que le site buggue grave. Vers midi, je pense que c’est mon site qui est en bouse, alors je lance une restauration. Elle n’aboutira jamais. Pendant ce temps là chez Ionos, ils finissent enfin par me dire qu’il y a un « soucis général ». Sur leur site tous les voyants sont au vert et aucune communication sur ce bug. Bref, j’ai du finalement trouver une solution temporaire pour que ce site perdure. Il est de nouveau hebregé sur mon vieux serveur Synology. J’ai du shooter la redirection (compte tenu des pb de connexion abonnés) …. Wait and see.

UPDATE 26/07/24 : Le transfert vers mon serveur n’a pas été chose aisée. Tout semble maintenant fonctionner correctement. Je profite aussi de ce changement pour mettre en oeuvre le changement de non de domaine. nathan-chevalier.fr va laisser la place à pisseux.fr. Une décision qui va certes chambouler un peu certains habitués. Mais, je me devais de réaliser ce changement car beaucoup de personnes portent ce nom là. Je n’aimerai pas etre à leur place. Je vais donc de facto faire des heureux.

UPDATE 27/07/24 : Les choses sont enfin revenues à la normale. Le site est de nouveau sur les serveurs de chez IONOS. Grosse frayeur quand même et des tonnes d’énergies pour retrouver un site digne de ce nom. J’en ai profité pour nettoyer les bases de données et fichiers parasites (y compris ce qui semble avoir été un tentative de hacking sur des fichiers sensibles modifiés). Pourtant le site est hyper sécurisé.

Aux origines de nos pulsions singulières…

Il y a la mère ! Celle qui a imprimé votre envie irrésistible de porter des couches. Que l’on se le refuse à y croire ou pas, notre mère ou bien celle qui nous a vu grandir à imprimé dans nos cervelles de mômes ce drôle de fantasme inavouable. En effet, c’est encore de nos jours assez honteux que d’avouer son penchant pour tout ce qui se rapporte à l’enfance. A la limite on vous traitera de pédophile. Vaste condamnation évoquée bien souvent sur les réseaux sociaux lorsque l’on évoque ce fantasme, cette pulsion parasite.
Comment est-ce arrivé? On ne le sait pas. On sait juste que cela nous apaise. Nous fait du bien.

« Elles portent en nous des cris d’enfants
Comme au temps des cours de récré
Quand on attend l’heure des mamans
Au bout de nos coeurs estropiés
Elles ont le monde entre leurs seins
Et nous sommes des oiseaux perdus
Des ptérodactyles en déclin
Avec des sentiments tordus »

Il y a aussi parfois l’amer.
Ce texte de H.F Thiefaine résume à lui seul toute la complexité de nos relations Mère/ Fils (ou fille). Sans nul doute, c’est le rapport à notre mère ou celle qui nous a vu grandir qui va imprimer notre devenir, nos envies, nos peurs, notre confiance en nous et bien d’autres choses encore.
Certains ont la chance d’avoir grandi auprès d’une mère merveilleuse, attentive, bienveillante, altruiste et j’en passe. D’autres n’ont pas cette chance. Pour certains c’est plutôt le contraire. Mais est-ce si traumatisant que cela? Vous grandissez avec une mère qui ne vous aime pas, qui vous déteste parfois. Elle ne prête aucune attention à vous. Elle est parfois violente, agressive, méchante. En grandissant, cependant vous comprenez cet état de fait et vous armez en conséquence. Une carapace défensive face à l’adversaire. Il faut survivre, c’est l’essentiel.
Mais croyez-moi : il n’est pas pire situation que d’être le fils d’une mère malaisante. Parfois qualifié de perverse narcissique, ce type de mère est une calamité absolue. Si vous rencontrez celle qui m’a élevé , vous aurez certainement du mal à comprendre son coté malsain. Se forger une carapace? Pas évident avec ce genre de clientèle. Elle avance masqué, avec toujours un coup d’avance. Son grand amour c’est Elle et tout doit tourner autour d’elle. Ce n’est qu’avec le temps et nos discussions dans la fratrie que l’on se rend compte de l’ampleur de son emprise, de sa perversité. Elle nous imprègne avec le temps d’un syndrome de Stockholm. Son coté polymorphe lui permet de passer entre les gouttes, de rester inaperçue, de se déclarer victime lorsque l’orage gronde. C’est assez déstabilisant d’en arriver à ces conclusions. C’est ce que j’ai vécu. Je ne rentrerai pas dans les détails, cependant mon amour pour les couches culottes est une conséquence directe de son déséquilibre à peine perceptible pour un non initIé.
Donc en ce qui me concerne OUI : ma mère est à l’origine de mon amour inconditionnel pour les couches culottes. Mais n’allez surtout pas lui dire !
Je l’ai fait, mal m’en a pris. L’orage s’est transformé en cataclysme. Elle n’y est pour rien. Elle me l’a affirmé.
Je tiens à vous rassurer, je ne suis pas en pleine déprime. Du moins je ne le suis plus depuis environ 15 ans. J’ai longtemps été bancale dans mes humeurs. C’est d’ailleurs cette bancalité qui m’a fait choisir la voie de l’incontinence chirurgicale. Bien m’en a pris., car je n’ai plus de crises existentielles et j’ai pu ouvrir les yeux. Nathy m’a connu avec ces états de déprimes profondes. Je n’arrivais pas à en comprendre la cause. J’étais à la merci de mes démons. Ce n’est que lorsque j’ai décidé de vivre pleinement cette incontinence et de trouver les moyens de la rendre pérenne que je me suis enfin assagi. En recouvrant mes esprits et en discutant avec mes frangines et mon frangin, j’ai peu à peu ouvert les yeux.
Cela ne changera rien in fine car je suis en paix. En paix mais conscient de la nature peu bienveillante de ma génitrice.

On n’est pas passés très loin…

Vraiment pas très loin du crash fatidique pour le site. Ce dernier était jusqu’alors hébergé sur mon serveur personnel. Ce n’était pas une si mauvaise idée. Sauf que WordPress et Synology ne font pas bon ménage. La dernière mise à jour de mon serveur a fait planter le site. J’ai réussi à le récupérer (du moins je pensais). Sauf que ce n’était qu’une illusion. Au fur et à mesure des jours, de petits bugs sont apparus sans que j’en comprenne l’origine. Et puis, Dimanche dernier, le site s’est complètement crashé. Il aura fallu une semaine pour enfin réussir à lui redonner vie. Il faut dire aussi que je l’avais laissé un peu de coté. Ces 6 derniers mois, beaucoup de grosses tuiles me sont tombées dessus. Principalement familiales et intimes : suffisantes pour concentrer mon énergie sur autre chose que ce blog. 2023 est définitivement une année de merde et elle n’est pas encore révolue. Bref, concernant le blog, la bonne nouvelle c’est qu’il n’y a pas eu de grosses pertes de données. J’ai pu réinstaller une sauvegarde du 23 Mars. Une trentaine de comptes ont sauté. Ces derniers ont été averti par une petite newsletter personnalisée, les invitant à se réinscrire si besoin. L’autre bonne nouvelle concerne le changement d’hébergement. Le site est désormais chez un fournisseur privé. L’avantage de cette migration est avant tout stratégique. La performance et le temps de réponse sont sans rapport avec ce que vous avez pu connaitre lorsque je l’ hébergeais sur mon serveur. On va dire qu’il ensile les watts. J’ai aussi fait l’acquisition d’un module de sauvegarde ultra performant. Ce dernier me permet d’être beaucoup plus serein lors des mises à jour de WordPress.

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